Human Rights Watch rapporte que des restrictions croissantes des droits humains ont été commises durant l’année 2020 par l’administration du président Félix Tshisekedi.

Cette ONG internationale des droits humains regrette que les autorités congolaises aient réprimé des détracteurs pacifiques, des journalistes et des membres de partis politiques, tout en utilisant les mesures de l’état d’urgence mises en place contre la Covid-19. Au total, 39 cas de menaces et de harcèlement liés à la liberté d’expression et à la liberté de la presse dans la moitié de 26 provinces du pays ont été documentés par HRW.

« Les avancées en matière de droits humains observées pendant la première année de mandat du président Tshisekedi semblent rapidement se dissiper », déplore Thomas Fessy, chercheur principal pour la RDC chez HRW.

Ce dernier appelle par ailleurs le chef de l’État à faire  » marche arrière » et mettre un terme à cette « répression croissante » de la liberté d’expression et de réunion pacifique.

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