Jean Marc Kabund est loin d’abandonner sa lutte pour être établi à « droits » malgré l’arrêt rendu par la Cour constitutionnelle, qui a déclaré ce mercredi 17 juin 2020 recevable et non fondé sa requête après sa déchéance au poste du premier vice-président de l’Assemblée nationale.

Pour son avocat Didier Kondo, « la décision de la haute Cour est allée à l’encontre de l’avis du ministère public » et a promis d’emprunter d’autres voies pour son client soit rétabli dans ses droits.

« Nous sommes venus devant cette cour pour qu’elle reconnaisse que le droit de Jean Marc Kabund de se défendre avait été systématiquement violé. Mais c’est curieux que la Cour passe outre pour déclarer notre requête non fondée. Mais il y a beaucoup d’autres voies que nous allons poursuivre », a-t-il fait savoir avec regret.

Pour rappel, Jean Marc Kabund a été destitué de son poste après une pétition initiée par le député MLC Jean-Jacques Mamba. Patricia Nseya a été désignée par l’UDPS pour remplacer Kabund.

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