Les circonstances floues de la mort du général Delphin Kahimbi, chef d’état-major adjoint des FARDC, chargé du renseignement militaire continue de susciter une avalanche de réactions dans la classe politique congolaise.

Au cours de la réunion du conseil des ministres vendredi, le président de la République n’a pas écarté l’hypothèse d’une mort par pendaison.

« D’après les éléments en sa possession, il s’avère qu’il s’agit d’une mort par pendaison », rapporte le compte rendu du conseil des ministres lu par le porte-parole du gouvernement Jolino Makelele.

Par ailleurs, le chef de l’Etat a informé à ses ouailles qu’une enquête à l’initiative de la MONUSCO sera bientôt diligentée. Une enquête qu’il espère d’ailleurs voir se terminer rapidement pour compenser les douleurs des familles éplorées.

Notons qu’une commission d’enquête chargée de faire la lumière sur cette mort  »mystérieuse » avait été mise en place par le chef d’état-major général des FARDC Célestin Mbala. Une enquête dirigée par le général major Marcel Mbangu.

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