Vital Kamerhe restera encore un peu plus écroué dans sa cellule à Makala. Selon ses avocats, sa demande de remise en liberté provisoire a été une fois de plus rejeté par la justice congolaise.
Une demande de remise en liberté provisoire motivée par l’état de santé précaire du président de l’UNC, condamné à 20 ans des travaux forcés.
Notons que le procès en appel de l’ex-président de l’Assemblée nationale a été renvoyé au 7 août prochain. Ce dernier continue cependant à recevoir le soutien de certains acteurs politiques et ceux de la société civile.
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