Dans une déclaration jeudi 16 juillet à l’issue de sa conférence des présidents, le Front Commun pour le Congo (FCC) nie catégoriquement les allégations portées par le président a.i. de l’UDPS l’accusant d’avoir « massacré » les manifestants lors de la marche anti-Malonda du 9 juillet dernier.
« Le FCC qui n’est mêlé ni de près, ni de loin, aux déplorables excès en ces circonstances contrairement aux allégations du président a.i. de l’UDPS, sur son compte Twitter, a examiné lesdites allégations ainsi que l’impact de ces activités organisées en violation de l’état d’urgence sanitaire », indique la déclaration.
Déplorant les dérapages constatés lors de ces manifestations, le FCC condamne par la même occasion, ce qu’il qualifie d’actes » ignobles » et demande à la justice de diligenter des enquêtes afin que les responsabilités soient établies.
Notons que selon le bilan livré par l’UDPS, 6 militants de ce parti ont été tués dont 3 par balles et trois autres à la machette lors de la journée de mobilisation du 9 juillet.
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