Dans sa correspondance adressée au président Félix Tshisekedi à l’occasion de la célébration de la journée du 30 juin, le roi Philippe a reconnu des actes de « violences » commis par la Belgique aux congolais durant l’époque coloniale et a exprimé ses « plus profonds regrets ».
« A l’époque de l’État Indépendant du Congo, des actes de violence et de cruauté ont été commis qui pèsent encore sur notre mémoire collective. La période coloniale qui a suivi, a également causé des souffrances et des humiliations », a déploré le roi Philippe.
Par ailleurs, le roi des Belges se dit déterminé à mener un combat contre toutes formes de discrimination, notamment le racisme.
Pour rappel, le roi Philippe est le fils aîné du roi Albert II et de la reine Paola.
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